En cas de suspicion d’AVC, l’IRM est – en raison de sa sensibilité et du fait de l’absence d’irradiation (contrairement au scanner) – l’examen d’imagerie à privilégier. Il permet à la fois de confirmer le diagnostic (infarctus ou hémorragie ?), d’aider à la décision thérapeutique (thrombolyse ou pas ?) et d’orienter vers une étiologie.
Suspicion d’AVC : quel examen d’imagerie privilégier ?
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- Publié le . Paru dans L'Information Dentaire
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